politique d’accessibilité aller à la page d’accueil aller au contenu aller au menu écrivez-nous

Un peu d'histoire...

Pendant la vie de Jacques MAILLET, la france fût successivement gouvernée par:

- Louis XVIII

roi de France de 1816 à 1824

- Charles X

un règne de courte durée de 1824 à 1830

- Napoléon II

nom donné à François Charles Joseph Napoléon Bonaparte (1811-1832), prince français, fils de Napoléon Ier et de l'impératrice Marie-Louise ne règne jamais, sa légitimité n’étant pas reconnue par les vainqueurs de Waterloo.

- Louis-Philippe Ier (1773-1850)

roi des Français de 1830 à 1848.
Installé au pouvoir à la faveur de la Révolution de juillet 1830, Louis-Philippe Ier a instauré un régime constitutionnel, monarchique et censitaire favorable aux intérêts de la grande bourgeoisie d'affaires. Si le règne de Louis-Philippe a incontestablement été profitable sur le plan de la modernisation économique de la France, en revanche, le roi et ses ministères n'ont pas su - puis voulu - satisfaire les attentes de la majorité d'une population aspirant principalement à obtenir une réelle représentation politique. Parce que le règne de Louis-Philippe a correspondu à celui des notables, le pouvoir et la popularité du roi ont été immolés sur l'autel d'une vague de mécontentement populaire qui a entraîné son abdication en 1848.

- Napoléon III (1808-1873)

président de la République (1849-1852)puis empereur des Français (1852-1870)
Napoléon III ne gouverne pas avec le peuple. Favorable, dans son principe même, aux notables et aux grands capitalistes, Il s’appuie sur les préfets, l’armée et la police pour museler toute velléité d’opposition, exigeant des fonctionnaires un serment de fidélité, supprimant la liberté de la presse et, de fait, la liberté d’opinion.
Au delà de cet autoritarisme, le régime de Napoléon III accomplit en quelques années une œuvre économique considérable. L’industrie et le commerce connaissent un développement important, fruit d’une politique volontariste, largement teintée de saint-simonisme. Durant cette période, le réseau ferroviaire passe de 3 000 km (1852) à 18 000 km (1870). L’expansion de certains secteurs industriels (textile, chimie, sidérurgie, métallurgie), la rationalisation et la modernisation de l’agriculture, la création des structures du capitalisme moderne (notamment de grandes banques capables de financer l’industrie grâce au crédit) permettent un fort essor économique et industriel, bien qu’il ne concerne pas l’ensemble du territoire. On assiste au passage progressif du protectionnisme au libre-échange, consacré par le traité de commerce du 23 janvier 1860 avec la Grande-Bretagne.
L’état lui-même donne une impulsion considérable aux travaux publics. Exemple emblématique, le programme d’aménagement de Paris, confié au baron Haussmann, transforme la physionomie de la capitale, tout en doublant la ségrégation sociale d’une ségrégation spatiale. Période d’expansion économique, et donc d’argent facile, d’affairisme, la première partie du règne de Napoléon III laisse donc le souvenir d’une «fête impériale» dont la cour, aux Tuileries comme à Compiègne, donne bien le ton. Pour le reste, l’expansion ne profite pas également à tous les Français. Ainsi, les années 1852-1870 ne marquent pas une amélioration du niveau de vie des ouvriers, contrairement à celui des notables, soutiens du régime impérial.
La défaite de 1870 a contribué à discréditer la figure de Napoléon III, déjà en proie de son vivant aux sarcasmes féroces de Victor Hugo, aux critiques de Marx et d’Engels, et au mépris de l’opposition républicaine, qui l’ont considéré comme un fossoyeur des libertés. Pourtant, l’historiographie contemporaine a fini par reconnaître le rôle décisif qu’il a joué dans le développement de la révolution industrielle en France, même s’il n’a pas su, simultanément, donner une réponse satisfaisante à la question sociale.

- Mac-Mahon, Marie Edme Patrice Maurice

comte de (1808-1893), maréchal de France, président de la République de 1873 à 1879.

- Jules Grévy

élu président de la république le 30 janvier 1879 et réélu en 1885. Il est prié de démissionner en février 1887 sous la pression du parlement suite à la découverte d'un trafic de décorations dans lequel son gendre est compromis.

- Sadi Carnot

est élu président en 1887, il sera assassiné le 24 juin 1894

- Casimir Perier

le remplacera jusqu’au 15 janvier 1895, un an après le décès de Jacques Maillet.

- Félix Faure

sera ensuite président de la république jusqu’en février 1899.

haut